
Soutenir le Référendum pour les Animaux
La Fondation Brigitte Bardot soutient le RIP, référendum d’initiative partagée, depuis son lancement en juillet 2020. Ce projet solidaire et citoyen propose 6 mesures fortes pour le bien-être animal :
- Interdiction de l’élevage en cage
- Interdiction des élevages à fourrure
- En finir avec l’élevage intensif
- Interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses dites « traditionnelles »
- Interdiction des spectacles avec animaux sauvages
- Fin de l’expérimentation animale
Ces propositions de loi ne pourront être soumises seulement si 185 parlementaires et 10% des personnes inscrites sur les listes électorales (soit 4,7 millions) y participent. Nous avons besoin de votre aide pour faire connaître ce projet !
Vous souhaitez vous mobiliser et soutenir le Référendum pour les Animaux ? Découvrez les éléments de communication mis gratuitement à votre disposition par la FBB !
STICKER RIP
Lettre à adresser à votre député / sénateur
Téléchargez dès maintenant le document mis à votre disposition ci-dessous, imprimez-le et adressez-le (en joignant un message personnel et courtois à votre élu l’invitant à soutenir le référendum) au plus vite à votre député et aux sénateurs par voie postale !
Sénat – 15 rue Vaugirard – 75291 Paris cedex 06
Assemblée Nationale – 126 rue de l’Université – 75355 Paris 07 SP
Partagez cette page
nos derniers articles


L’orang-outan, symbole des ravages de l’huile de palme
Aujourd’hui, la déforestation des forêts primaires au profit de monocultures de palmiers à huile tend à s’intensifier dramatiquement face à une demande toujours plus forte de la part des industriels.

GUERRE EN UKRAINE : La Fondation Brigitte Bardot présente à la frontière polonaise pour apporter assistance et informer les réfugiés accompagnés d’animaux du protocole sanitaire prévu en France.
Ils quittent l’Ukraine sans abandonner leur animal de compagnie, mais les réfugiés accompagnés d’animaux (chiens, chats, lapins…) sont confrontés à de nombreuses difficultés, en particulier le manque de caisses de transport pour pouvoir utiliser bus et trains affrétés par les pays d’accueil.