Participant à toutes les conférences CITES depuis la CoP11 (Kenya, avril 2000), la FBB note cette année un changement d’approche relativement positif.
Certains pays prennent en effet conscience qu’ils ne peuvent, par seul intérêt économique, engager les espèces animales vivant sur leurs territoires dans un processus d’extinction à court ou moyen terme.
L’interdiction des captures d’éléphanteaux, hors conditions exceptionnelles pour la protection d’individus, illustre cette étape qu’on peut qualifier d’historique.
Nous avons donc le sentiment que la conservation des espèces a pris le pas sur leur commercialisation, ce qui est notre objectif en tant qu’ONG engagée depuis 20 ans dans la participation à ce débat international.