Que savez-vous sur les animaux élevés dans les fermes d'élevage à fourrure ?

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Actuellement les refuges de la Fondation Brigitte Bardot proposent 214 chiens et 425 chats à l'adoption.

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Que savez-vous sur les animaux élevés dans les fermes d’élevage à fourrure ?

À l’état naturel, les visons, les renards, les chinchillas, etc. ont tous des aptitudes remarquables. Leur comportement est bien différent dans leur environnement naturel que lorsqu’ils sont enfermés dans des minuscules cages dans des conditions insalubres…

Les renards roux vivent principalement en couples ou en groupes familiaux, jusqu’à dix adultes et jeunes, creusant des tanières avec de nombreux tunnels. Leurs cousins arctiques parcourent des dizaines de kilomètres.

Mais dans les fermes d’élevage à fourrure, les deux espèces sont condamnées à l’isolement dans des cages en grillage de 0,8 à 1,2 m².

Les visons sont limités à des cages encore plus petites, alors qu’en pleine nature, ils grimpent et sautent entre les arbres sur un territoire allant jusqu’à 3 km² par jour – cela lorsqu’ils ne plongent pas jusqu’à six mètres de profondeur !

Même l’humble chinchilla peut sauter jusqu’à quatre fois la hauteur des cages de 50 cm, où ils sont emprisonnés dans les fermes. Habitués à vivre en colonies de plus de 100 chinchillas et à former des couples reproducteurs, dans les fermes d’élevage à fourrure, ils se retrouvent contraints à de petits groupes où les femelles sont retenues par des colliers en plastique pour être disponibles à tous leurs compagnons prisonniers, à tout moment.

L’incapacité à satisfaire les besoins les plus essentiels pour le bien-être physique et mental des animaux entraîne des comportements de détresse, tels que la mastication de leur fourrure et morsure de leur queue. Les blessures auto-infligées, infectées, les membres manquants et même le cannibalisme sont récurrents dans ces fermes, tout comme les niveaux élevés d’échec de la reproduction et de mortalité infantile.

Étant des animaux sauvages, ils craignent naturellement les humains. Les personnes qui les manipulent ont souvent recours à des pinces métalliques pour le cou ou le corps, et même à des pièges placés dans la cage. Les animaux sont tués pour leur fourrure par électrocution, cou brisé, ou sont gazés avec du dioxyde de carbone ou encore du monoxyde de carbone des gaz d’échappement.

Les conditions de vie dans les fermes d’élevage à fourrure sont totalement incompatibles avec le bien-être animal.

Aidez-nous dans ce combat en signant la pétition pour une Europe sans fourrure !

© Photos Four Paws / Fred Dott

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